Photo de l'Agence Reuters
En un article, que dis-je, en deux articles, Sur le Ring édicte sa ligne éditoriale, son positionnement idéologique et politique.
Ici, nul besoin de ce lyrisme que les deux défenseurs de la "flamme tricolore" emploient.
Maximilien de La Friche se désespère du départ de De Villiers de la scène politique nationale. Il arrive même à le transformer en héros romantique, homme fier malgré ses échecs au niveau national, annonçant sans ambages "une droite encore un peu plus fade".
Laurent Obertone lui, dans un article annonçant l'adoubement de Marine Le Pen à la tête du FN, se veut un brin nostalgique suite au départ inéluctable du "menhir", et confiant en l'avènement la nouvelle présidente, même si celle-ci n'a pas "le niveau d'expression ni la culture ni l'autorité définitive du père" !
Il en arrive même à nous faire part de ses souhaits pour les futures présidentielles de 2012 :
"Dans l'optique où le centre sera sur-représenté (Morin, Borloo, Villepin, Bayrou…), où la gauche sera sur-divisée, brouillonne et comme toujours dépourvue de bons candidats, Sarkozy peut tout miser sur un deuxième tour avec Marine Le Pen. Charge à lui de se maintenir autour des 30% jusque là."
Sur Le Ring à fond avec l'extrême-dr... euh, pardon, la Droite Nationale, novlangue et plan de com obligent !
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